Texte de la REPONSE :
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Il n'appartient pas au garde des sceaux de se prononcer sur des procédures en cours ou de porter une appréciation sur les décisions de justice. Cependant, il rappelle que l'assassinat le 29 mars 1988 de Mme Dulcie September, ressortissante sud-africaine, membre de l'African National Congress, a donné lieu à une information judiciaire suivie au tribunal de grande instance de Paris clôturée par une ordonnance de non-lieu le 17 juillet 1992. Dans le cadre de cette procédure, les parties civiles ont pu exercer pleinement leurs droits. Elles ont ainsi pu avoir connaissance de la procédure et de ses suites, conformément aux articles 114 et R. 155 du code de procédure pénale.
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