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Texte de la QUESTION :
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M. Jean-Claude Flory attire l'attention de M. le ministre du travail, de l'emploi et de la santé sur le renoncement aux soins dermatologiques qu'observent chez les adolescents les médecins dermatologues et généralistes depuis 2004. Ceux-ci ont en effet vu le nombre de leurs patients décroître de 34 %, 70 % d'entre eux étant des adolescents souffrant d'acné. Or, si l'acné est bénigne dans trois quarts des cas, elle peut revêtir des formes particulièrement sévères dans un quart des cas, avec les impacts psychologiques que cela peut avoir pour l'adolescent qui en souffre. Dans les cas sévères, seul un médecin sera à même de prescrire un traitement médicamenteux adapté, seul capable de faire disparaître les lésions cutanées. Aussi, il lui demande si une campagne de sensibilisation à destination des adolescents, incluant par exemple une visite gratuite chez un dermatologue, comme cela avait été fait pour les soins dentaires, permettant ainsi de poser un diagnostic, pourrait être proposée dans les collèges et les lycées.
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