Texte de la REPONSE :
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La gynécologie médicale est intégrée dans trois sous-sections du conseil national des universités et fait l'objet d'une option : gynécologie-obstétrique ; gynécologie médicale ; endocrinologie, diabète et maladies métaboliques ; gynécologie médicale ; biologie et médecine du développement et de la reproduction ; gynécologie médicale. En 2006, 3 maîtres de conférences des universités-praticiens hospitaliers ont été recrutés sur des emplois offerts dans le cadre d'emplois ouverts spécifiquement avec l'option gynécologie médicale. Depuis 2007, aucun emploi de gynécologie médicale n'a été offert aux concours. En effet, lors des réunions annuelles des effectifs hospitalo-universitaires, ni les directeurs des unités de formation et de recherche médicale, ni les directeurs généraux des centres hospitaliers universitaires n'ont exprimé la demande de mettre au recrutement des emplois hospitalo-universitaires au concours dans cette spécialité. Toutefois, il convient de préciser que l'enseignement de la gynécologie médicale est pris en charge par l'ensemble des titulaires et non titulaires intervenant dans les trois sous-sections précitées dont les effectifs sont les suivants : gynécologie-obstétrique ; gynécologie médicale : 112 professeurs, 6 maîtres de conférences et 166 chefs de clinique ; endocrinologie, diabète et maladies métaboliques ; gynécologie médicale : 66 professeurs, 6 maîtres de conférences et 74 chefs de clinique ; biologie et médecine du développement et de la reproduction ; gynécologie médicale : 32 professeurs, 48 maîtres de conférences et 12 chefs de clinique, soit un effectif total de 522 enseignants.
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