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Texte de la REPONSE :
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Les associations de pêche ainsi que leurs fédérations départementales et nationale jouent un rôle essentiel en matière de sauvegarde et de mise en valeur des milieux aquatiques, et ce dans une perspective de développement durable. Leur présence au sein des groupes de travail du Grenelle de l'environnement était donc essentielle. Malgré les contraintes très fortes liées au nombre de places limité attribué à chaque collège, le ministère de l'écologie, du développement et de l'aménagement durables a tenu à ce que la Fédération nationale de la pêche en France soit représentée au sein des deux groupes où ses compétences étaient le plus requises. C'est ainsi que M. Bernard Breton, président de la fédération du Val-d'Oise, représentait la Fédération nationale de la pêche en France (FNPF) dans le groupe « Préserver la biodiversité et les ressources naturelles », qui a notamment traité de l'eau et des ressources halieutiques. M. Jean-Paul Doron, président de la fédération de l'Orne a, quant à lui, siégé dans le groupe « Adopter des modes de production et de consommation durable » qui a émis des propositions pertinentes, notamment pour réduire l'impact de l'agriculture sur les milieux aquatiques, tant par les prélèvements qu'elle opère que par les pollutions diffuses qu'elle entraîne. Loin d'avoir été oublié, le monde de la pêche a donc été très présent dans les travaux du Grenelle de l'environnement. Les contributions qu'il a produites ont à l'évidence contribué au succès de cette démarche.
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