Texte de la REPONSE :
|
En continu, et plus particulièrement pendant la présidence française, le secrétariat d'État a porté au sein du conseil de l'Union européenne l'urgence de l'établissement d'un véritable marché commun du numérique, thème que l'on retrouve de manière transversale dans tous les chapitres de l'agenda numérique. Cet agenda, présenté par la Commission en mai dernier, faisait suite à la « stratégie de Grenade » et a été validé par le conseil européen des ministres des Télécoms le 31 mars. La secrétaire d'État se réjouit des ambitions fortes exprimées par l'UE en matière de développement de l'économie numérique. Avec la mention de thèmes industriels comme l'informatique dans les nuages, ou encore le développement de la e-santé et de la e-éducation, l'agenda numérique européen marche désormais sur deux pieds : les infrastructures et les usages, ce qui représente une évolution majeure dans l'approche européenne, jusqu'alors essentiellement concentrée sur le nécessaire développement du haut et du très haut débit, et par la stimulation de la concurrence.
|