Texte de la REPONSE :
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Lors d'une réunion de conciliation tenue le 8 décembre 2009 au cabinet du secrétaire d'État chargé des transports, en présence de parlementaires et d'élus locaux du pays Naborien, deux hypothèses de desserte avaient été identifiées, l'une par TGV, l'autre par ICE. Dans une correspondance du 13 janvier 2010, le secrétaire d'État avait diligenté auprès du Président de la SNCF la conduite d'une étude de faisabilité à partir de ces deux scénarii d'évolution. À ce stade, la prolongation du TGV Paris-Metz constitue l'option techniquement et commercialement la plus adaptée mais doit faire l'objet d'études complémentaires, préalablement à son examen par l'observatoire du TGV Est européen.
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