Rubrique > santé
Titre > Risques des adjuvants aluminium dans les vaccins
Mme Aina Kuric attire l'attention de M. le ministre des solidarités et de la santé sur les risques d'utilisation de l'adjuvant aluminium dans les vaccins obligatoires. Aujourd'hui, alors qu'un vaccin contre la covid-19 est en cours d'élaboration et que les Français se font vacciner contre la grippe saisonnière, les deux tiers des vaccins utilisent l'adjuvant aluminium. Or de nombreuses études scientifiques ont pu démontrer la toxicité de l'aluminium sur l'homme et cet adjuvant pourrait être à l'origine d'effets indésirables graves et notamment être responsables de la « myoafasciite à macrophages ». L'Académie de médecine reconnaît depuis 2012 que les sels d'aluminium migrent dans l'organisme pour atteindre le cerveau et les travaux des professeurs Gherardi et Authier démontrent précisément le lien entre les vaccinations avec adjuvant aluminium et les personnes malades de myofasciite à macrophages. Les juridictions françaises ont elles-mêmes reconnu à plusieurs reprises les liens entre cette maladie et la vaccination. De plus, selon le professeur Exley, spécialiste international de la toxicité de l'aluminium, de nombreuses autres maladies pourraient être imputables à cet adjuvant : maladie d'Alzheimer, maladie de Parkinson, maladie de Crohn ou encore sarcoïdose. Les nombreuses recherches scientifiques mettant en cause l'aluminium vaccinal sont probantes et exigent au titre du principe de précaution que le Gouvernement s'y intéresse afin de restaurer la confiance de la population dans la vaccination. Ainsi, elle souhaiterait savoir quelles mesures le Gouvernement envisage de prendre au nom du principe de précaution afin de lever les inquiétudes des Français.