Texte de la REPONSE :
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Les statistiques des crimes et délits constatés en Bretagne par la gendarmerie nationale lors des trois dernières années (1994, 1995, 1996) font apparaître une nette évolution à la baisse. Plus particulièrement, les atteintes aux personnes et les vols diminuent de 5,86 %. En outre, en 1996, le taux de criminalité pour mille habitants de la région Bretagne est de 36,46 alors qu'il s'élève à 61,10 pour l'ensemble du territoire métropolitain. Les chiffres du premier semestre 1997 ne sont pas révélateurs d'une quelconque aggravation de la délinquance dans cette même région. La Bretagne se trouve ainsi depuis plusieurs années à l'avant-dernier rang des régions quant à la délinquance constatée par les services de police et les unités de gendarmerie. Les unités territoriales de la Gendarmerie nationale poursuivront avec la même efficience leurs activités préventive et répressive au profit des personnes âgées, singulièrement celles demeurant dans les écarts. (Voir tableaux dans JO correspondant).
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