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Texte de la REPONSE :
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Le ministère attache la plus haute importance à la formation des enseignants pour l'usage pédagogique des technologies de l'information et de la communication. Le ministre a demandé aux recteurs d'en faire une priorité des plans académiques de formation et de veiller à ce que les formations soient articulées avec les plans d'équipement des établissements publics locaux d'éducation (collèges et lycées) ainsi que des écoles. Il est également précisé, dans la circulaire de rentrée concernant le premier degré, que « toutes les formations proposées aux maîtres devront intégrer un volet TICE » (technologies de l'information et de la communication pour l'enseignement) (B.O. du 29 mars 2001). Un effort important a également été fait en direction des IUFM (instituts universitaires de formation des maîtres). Des recommandations concernant les compétences demandées aux enseignants en fin de formation initiale ont servi de support à un appel à projets en direction des IUFM (janvier 1998) qui a été suivi de l'attribution de moyens importants : 60 millions de francs, 50 postes d'ingénieurs et 50 postes d'enseignants. Ce « plan d'urgence » a permis aux instituts de combler leur retard d'équipement. Depuis, une série de séminaires, en direction des formateurs d'enseignants, a permis de suivre la réalisation du plan d'équipement et d'approfondir la réflexion sur l'intégration des technologies de l'information et de la communication dans les pratiques pédagogiques. Vingt séminaires nationaux, impliquant plus d'un millier de formateurs d'IUFM, ont été réalisés. Ils ont touché aussi bien les formateurs de formation initiale que de formation continue, les formateurs des professeurs des écoles, comme ceux, discipline par discipline, des professeurs des lycées et collèges. Par ailleurs, les contrats quadriennaux passés entre les IUFM et le ministère consacrent une part importante aux équipements de matériels informatiques et de connexion.
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