Texte de la REPONSE :
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L'auteur de la question évoque la nécessité de faire respecter des règles déontologiques publicitaires dans les domaines du prêt-à-porter de luxe et des parfums, notamment au regard de l'image dévalorisante de la femme telle qu'elle a pu être véhiculée dans certaines publicités. L'existence d'un certain nombre de ces publicités dénigrantes pour les femmes ont conduits le bureau de verification de la publicité (BVP) à réactualiser la recommandation « image de la femme » qui est devenue « image de la personne humaine », engageant ainsi une action très importante d'auto-discipline. L'organisation professionnelle représentant l'industrie de la parfumerie-cosmétique a pour sa part toujours relayé les recommandations du BVP en les diffusant le plus largement possible. Régulièrement, elle engage tous ses adhérents à respecter cette auto-discipline et les incite, par des messages précis s'adressant aux directions générales, aux responsables de communication et aux responsables de marketing, à vérifier que les recommandations du BVP, en particulier celle sur « l'image de la personne humaine », sont bien appliquées par l'entreprise dans sa communication produit, conformément au code de déontologie de la fédération représentant ce secteur.
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