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Texte de la QUESTION :
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Une enquête rendue publique le 14 février 2005 vient d'évaluer à 300 000 le nombre de porteurs chroniques du virus de l'hépatite B particulièrement au sein des personnes ayant une situation sociale précaire. Le taux de prévalence serait trois fois plus élevé chez les bénéficiaires de la couverture maladie universelle complémentaire (CMUC). Or l'hépatite B est une maladie susceptible d'évoluer vers la cirrhose et le cancer du foie. Commentant les résultats de l'étude, l'INVS a estimé qu'ils constituaient « un élément important » à prendre en compte. Les auteurs de l'étude estiment même que ces résultats « sont en faveur de la stratégie actuelle de vaccination contre le VHB en France ». Or depuis les développement concernant les effets secondaires dus par la vaccination contre l'hépatite B (sclérose en plaque, etc.), cette dernière a marqué le pas au sein de la population. En conséquence, Mme Chantal Robin-Rodrigo demande à M. le ministre des solidarités, de la santé et de la famille de lui indiquer son sentiment et ses intentions au sujet de ce dossier.
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