Texte de la REPONSE :
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Reponse. - Au cours de la reunion du 30 juillet 1992 de la commission des comptes de la securite sociale, le ministre des affaires sociales et de l'integration a rappele « qu'il n'y a pas d'autre solution, pour garantir les equilibres financiers, qu'une maitrise concertee des depenses de la branche maladie doublee d'une action resolue en faveur de l'ajustement de la branche vieillesse ». Il n'a donc pas impute le desequilibre financier du regime general a la branche maladie mais a souligne que, compte tenu de la persistance de l'augmentation soutenue des depenses de l'assurance maladie, une des conditions pour atteindre et maintenir l'equilibre du regime residait dans la recherche d'une voie nouvelle de maitrise negociee de ces depenses.
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