Question de : M. Olivier Falorni
Charente-Maritime (1re circonscription) - Radical, républicain, démocrate et progressiste

M. Olivier Falorni interroge Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur l'utilisation de la télémédecine dans le domaine de la cardiologie. La télécardiologie permet un meilleur suivi des patients porteurs de stimulateurs et défibrillateurs cardiaques. Cette technologie ne bénéficie actuellement d'aucune prise en charge de la part du système de santé de notre pays, que ce soit pour les coûts de sa mise en place ou pour ceux du suivi par les médecins, alors qu'elle était déjà reconnue comme une avancée majeure en 2008 dans le livre blanc de la télécardiologie signé des professeurs Salem Kacet et Denise Silber. À terme, elle peut limiter les déplacements des patients et la durée d'hospitalisation. Néanmoins, elle nécessite des moyens et une évolution des pratiques au sein de la profession afin de profiter de l'ensemble de ses avantages. En septembre 2012, le Conseil national professionnel de cardiologie (CNPC) et le Conseil national de l'Ordre des médecins (CNOM) ont élaboré une réflexion économique pour la prise en charge de la télésurveillance. C'est pourquoi il souhaite connaître l'avancée de la réflexion sur les modes d'organisation et la prise en charge de la télécardiologie.

Question clôturée le 20 juin 2017
Cause : Fin de mandat
Données clés

Auteur : M. Olivier Falorni

Type de question : Question écrite

Rubrique : Santé

Ministère interrogé : Affaires sociales et santé

Ministère répondant : Solidarités et santé

Date :
Question publiée le 26 février 2013

Date de clôture : 20 juin 2017
Fin de mandat

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