politique de l'éducation
Question de :
M. Jacques Bompard
Vaucluse (4e circonscription) - Non inscrit
M. Jacques Bompard attire l'attention de Mme la ministre de l'éducation nationale, de l'enseignement supérieur et de la recherche sur les problèmes de l'angélisme. Le Gouvernement sans cesse nous parle de choses et d'autres, non pas celles qui sont mais comme il croit qu'elles sont. Tout le monde est gentil, honnête, travailleur, poli, intelligent... Et c'est vrai que dans ce monde de rêve gouverner est facile, que dans les écoles les élèves peuvent enseigner aux enseignants, que les criminels peuvent rester libres et que l'on doit accueillir les terroristes et les raisonner gentiment. Le Gouvernement a été outré que, malgré le refus de l'amalgame unanime de la classe politique, ce moment de silence n'a pas été respecté dans nombre de classes en France. On ne doit pas être surpris, depuis le temps où on ne parle plus de la vérité historique et d'un enseignement constructif à l'école. Certaines écoles sont occupées à 100 % par des enfants musulmans et quand l'enfant n'en est pas, il est obligé de s'intégrer, de suivre le ramadan sous peine d'absence de tolérance. Le grand remplacement existe dans certains quartiers et il a des conséquences que l'État refuse de constater. Est-il possible de gouverner sans voir la réalité ? Le Gouvernement n'est pas seulement confronté au départ de l'autorité dans les écoles, il est confronté à la réalité communautariste créée par l'État. Il lui demande quand le Gouvernement acceptera de voir la réalité.
Auteur : M. Jacques Bompard
Type de question : Question écrite
Rubrique : Enseignement
Ministère interrogé : Éducation nationale, enseignement supérieur et recherche
Ministère répondant : Éducation nationale
Date :
Question publiée le 3 février 2015
Date de cloture :
20 juin 2017
Fin de mandat